Inscrit désormais dans l’agenda des principaux investisseurs européens et internationaux comme l’un des rendez-vous français incontournables de la tech française, cette troisième édition élargit, au-delà des SATT, la sélection des entreprises, aux principaux organismes publics de recherche : le CEA, le CNRS, INRIA et Inserm. Ces cinq structures représentent ensemble la quasi-totalité de l’écosystème de la valorisation de la recherche publique française, dont l’un des vecteurs est la création d’entreprise. Entre 2011 et 2017, ces structures ont ainsi accompagné la création de 836 start-up, lesquelles ont réalisé 370 levées de fonds sur la période, pour un montant global de plus de 1 milliard d’euros.

40 start-ups ont été sélectionnées par les investisseurs, selon plusieurs critères (proposition de valeur, potentiel de croissance, équipe, taille du marché…) parmi ces 836 sociétés, pour participer à cette troisième édition du French Tech Transfer Invest les 13 et 14 février. Après avoir été entrainées à l’exercice du « pitch », elles auront l’opportunité de se présenter devant un jury composé de 60 investisseurs européens, avec lesquels elles pourront également échanger à l’occasion de séquences de networking. Ces 40 start-up intégreront par ailleurs la plateforme EuroQuity de Bpifrance, qui offre une visibilité accrue et un service digital de mise en relation avec les partenaires de leur développement.

 

Stephane Roecker / Client relationships based on trust, reliability and consistency